





ADRESSE
25 Rue Saint-Sébastien, Paris, France
SITE WEB
MÉTRO
Saint-sébastien - Froissart (M8), Richard-lenoir (M5), Saint-ambroise (M9)
CONTACT
Ø
Bambino, l’adresse où la fête rencontre le goût
• THE PLACE •
Né du désir de réunir les gens autour d’un disque, ce lieu singulier mêle les accents festifs de Tel Aviv, l’énergie brute des clubs de Londres et New York, et l’élégance feutrée des jazz cafés de Tokyo.
Imaginé par Fabien Lombardi - @doppelfabio, le fondateur des adresses Faggio, ce lieu hybride cultive une atmosphère à la fois brute et chaleureuse, où l’on vient pour manger, écouter, se retrouver — et souvent danser.
Chez Bambino, les assiettes se partagent comme les disques, et l’atmosphère vibre au rythme d’une passion sincère pour le son, le vin et les belles tablées.
La salle, brute et vivante, semble en mouvement perpétuel, portée par une programmation vinyle tirée de la collection personnelle du maître des lieux, et une cuisine d’influences où la générosité est le fil conducteur.
De jour comme de nuit, Bambino rassemble : les amateurs de nature dans le verre, les curieux du groove, les amoureux du bon son comme du bon goût. Un comptoir, quelques tables, beaucoup d’histoires à écouter et à raconter.
• THE FOOD •
Ce soir-là, les braises de Bambino accueillaient un invité de marque : Valentin Burteaux, ancien chef exécutif de Septime et D’une Île, en résidence du 10 avril au 5 mai. Tout juste débarqué de Bangkok, il vient raviver la flamme dans les cuisines avec une carte courte et inspirée.
Venus en grand groupe, c’était l’occasion parfaite pour goûter à (presque) toute la carte.
Le défilé commence avec des tomates datterini rôties au feu de bois, un tempura de courgette, des gougères très légères, du chèvre frais et légumes de printemps, un carpaccio de sériole fumé, des asperges blanches… Et surtout, un coup de cœur absolu pour la seiche aux poivrons rôtis. Un plat équilibré et parfaitement exécuté, avec des poivrons bien fondants.
La cuisine de Valentin Burteaux a séduit toute la table. Un bel équilibre des saveurs, des cuissons maîtrisées, et une exécution précise. Une parenthèse gourmande qui a laissé des souvenirs… et quelques regrets que ce ne soit qu’éphémère.
Seul point d’attention, des portions un peu justes au regard des prix. Ce n’est pas forcément une adresse vers laquelle je me tournerais pour dîner régulièrement, mais la résidence en valait largement le détour, et je suis ravie de d’avoir découvert la cuisine de ce chef dans ce contexte. Pour venir y boire un verre en revanche, c’est un grand oui : l’ambiance, la musique, l’énergie… tout donne envie d’y revenir, encore et encore.
Mais Bambino, je l’aime autrement. Pour ses verres, ses vinyles, son énergie singulière. On y revient pour l’ambiance, le son, et cette atmosphère qui vibre jusqu’à tard.
D’ordinaire, la carte fait la part belle aux cuissons au feu de bois et aux plats à partager. À découvrir autrement, et toujours avec plaisir.
• THE ATMOSPHERE •
Tout commence dans une ambiance brute et chaleureuse : comptoirs en béton, tables hautes, bois patiné, matières brutes que j’affectionne tant. Un décor pensé pour vibrer, sans fioritures, au rythme des assiettes et des platines.
Car ici, la nuit s’installe doucement… et tout bascule.
Le son monte, les DJ s’installent, les vinyles tournent, et l’énergie change.
Funk, disco, soul, hip-hop, jazz – une bande-son rétro et soigneusement choisie, servie par un excellent soundsystem, qui transforme le dîner en piste de danse.
Bambino, c’est un restaurant, un bar à vin, un lieu de fête – le tout réuni en un seul espace vivant et vibrant, ouvert jusqu’à 2h du matin. On y vient pour grignoter, trinquer, écouter, danser. Et très souvent, on y reste sans s’en rendre compte.
Petit conseil : pas de réservation possible, l’entrée est souvent bondée. Armez-vous de patience… mais la soirée en vaut largement la peine.
LUNDI - DIMANCHE : 18h30 - 01h45
HORAIRES
Valentin Burteaux
En résidence pour avril-mai 2025, ancien chef exécutif chez Septime et D’une Île